Passer aux informations sur le produit
British Warm in midnight

British Warm in midnight

$1,168.00
CouleurMidnight
Taille

Manteau croisé sur mesure, fabriqué à Londres, avec un épais tissu hopsack en laine mérinos (26 oz) du Yorkshire et des boutons en corne des Cotswolds.

Last order for pre-Christmas delivery: 15th December for the UK, 8th December for the rest of the world.

Le manteau chaud britannique est un long pardessus croisé, de tradition sur mesure, dont le nom remonte aux manteaux portés par les généraux de l'armée britannique pendant la Seconde Guerre mondiale. Ce modèle est moins cintré que ceux d'autrefois : des épaules plus souples, une longueur accrue et une coupe légèrement plus ajustée.

Le manteau chaud britannique comporte quatre poches extérieures. Deux d'entre elles, grandes et profondes, sont situées à la taille et sont recouvertes de rabats. On trouve également une poche ticket plus petite sur le côté droit, elle aussi recouverte d'un rabat, et une poche poitrine encore plus petite, fermée par un rabat inversé d'une conception peu conventionnelle.

Les boutons du manteau sont en corne massive, de teinte moyenne et au fini mat, et chacun est légèrement différent. Ils sont, à cet égard, comme des flocons de neige en alpha-kératine : telle est la beauté d’un produit en matière naturelle de haute qualité, plutôt que d’une réplique en plastique, par exemple.

Un pli creux court le long du dos du manteau, offrant ainsi une plus grande liberté de mouvement aux épaules. Une demi-ceinture souligne le bas du dos, cassant la silhouette et servant de point de départ à la longue fente qui s'étend jusqu'à l'ourlet.

Ce manteau chaud possède une épaule en forme de selle, ce qui est inhabituel pour ce type de manteau — ou même pour tout manteau en dehors de l'atelier — et offre le meilleur des deux mondes : la manche montée classique, avec ses lignes nettes et structurées, et la manche raglan, avec son profil doux sur l'épaule.

Il y a trois boutons au poignet, les boutonnières étant ouvertes. Autrement dit, c'est un poignet fonctionnel, même si cela ne pose aucun problème avec les poignets non fonctionnels ou inutilisables.

On retrouve ici et là des finitions artisanales sur le manteau britannique, notamment sous le col, où le revers et le col sont assemblés par un point de croix en forme de canard.

Entièrement doublé d'un satin fluide et léger, ce manteau s'enfile et se retire facilement, tout en réduisant les frottements avec les vêtements portés en dessous. Il comporte également deux poches intérieures, toutes deux à hauteur de poitrine, idéales pour un portefeuille ou un téléphone, et réalisées dans un style passepoilé classique et soigné.

Ce tissu robuste possède une texture légèrement granuleuse, rappelant celle d'un épais hopsack double fil. Dense et donc chaud, il offre un tombé fluide et net, sans que sa densité ne lui confère une impression de lourdeur ou d'inélégance.

Comme porté

Ce monsieur mesure 38 pouces de tour de poitrine, 6 pieds 1 pouce de hauteur, pèse 12 pierres et porte le manteau British Warm en taille S.

Même homme, même manteau et même taille (taille S).

Fabricants de

Ce manteau est fabriqué dans le nord-est de Londres. Sa confection à partir de tissus épais requiert un savoir-faire très spécialisé, et chaque étape raisonnable — et parfois même une étape déraisonnable — est mise en œuvre pour garantir sa durabilité, de la découpe du patron au travail à la machine, sans pour autant obtenir un résultat rigide ou encombrant.

Ce manteau est fabriqué dans le nord-est de Londres. Sa confection à partir de tissus épais requiert un savoir-faire très spécialisé, et chaque étape raisonnable — et parfois même une étape déraisonnable — est mise en œuvre pour garantir sa durabilité, de la découpe du patron au travail à la machine, sans pour autant obtenir un résultat rigide ou encombrant.

Les boutons en corne sont taillés, façonnés et polis par les derniers artisans artisans de boutons en corne de Grande-Bretagne. Installés dans les Cotswolds, après avoir quitté les Midlands, ils perpétuent une tradition remontant au XVIIIe siècle. « Il n'est pas chose aisée », affirmait William Hutton en 1780, « d'énumérer l'infinie diversité des boutons fabriqués à Birmingham. »

Vous aimerez peut-être aussi